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 Cure d'Agen

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MessageSujet: Cure d'Agen   Cure d'Agen I_icon_minitimeMer 7 Nov - 9:23

Faire monter Ecatherina

Baptême

Passage niveau V :

Nécessite 4 points de charisme
+ 500 écus

Pour niveau VI :

Du niveau V au niveau VI

Attention, à partir du niveau IV il n'y a plus de fiche d'objectifs, il faut se rendre à la sénéchaussée et aller voir le conseiller du comte.

Objectifs à remplir:

Avoir 100 points de réputation (avec un maximum de 30 points de confiance)
Avoir 60 points aux trois caractéristiques force, intelligence et charisme et au choix:
120 en charisme si vous souhaitez prendre la voie de l'État et de l'Armée
120 en intelligence si vous souhaitez prendre la voie de l'Église et de la Science
avoir 2500 écus ou avoir gagné 1600 écus en ayant pratiqué deux métiers (soit avoir détruit sa première échoppe et en avoir reconstruit une, ce qui coûte donc 500 écus) (ces écus doivent se trouver dans l'inventaire)
être vêtu:
de braies (ou d'une jupe pour les femmes)
d'une chemise
d'une ceinture (ou d'une corde pour les hommes)
de bas
d'un chapeau (ou d'une toque, d'un foulard, d'un casque, d'une mitre, d'un bonnet de Noël, d'une coiffe, d'une mitre, d'un bonnet de Noël ou d'un chapeau de paille)
d'une paire de chausses ou de bottes, de poulaines ou de bottes de fourrure

Une fois ces conditions réunies, vous pouvez aller à la sénéchaussée pour y rencontrer le conseiller du comte.

Attention, les 2500 écus que vous payez alors disparaissent purement et simplement en partie: entendez par là que vous payez 1000 écus (qui ne bénéficient à personne, même pas la mairie ou le comté) et que vous gardez le reste (600 ou 1500 selon la méthode que vous employez).

Attention, avoir 1600 écus n'est pas forcément suffisant quand on choisit la solution de pratiquer deux métiers différents. En effet le jeu tient compte de la somme d'écus qui vous restait après être passé du niveau III au niveau IV. Ainsi, s'il vous restait par exemple 52 écus, il vous faudra attendre d'avoir atteint 1652 écus pour que le conseiller du comte vous offre la possibilité de passer au niveau V. Si vous lisez ce guide et que vous êtes encore au niveau III, alors je vous suggère de noter la somme qu'il vous restera après le passage au niveau IV afin de ne pas vous retrouver dans une situation d'incompréhension totale lorsque vous voudrez passer au niveau V, dans votre fiche personnage par exemple. Vous ne pouvez même pas imaginer à quelle fréquence revient cette question sur le forum... Cela ne compte pas pour le choix du passage à 2500 écus.
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MessageSujet: Re: Cure d'Agen   Cure d'Agen I_icon_minitimeMer 31 Juil - 19:26

article aap


La monarchie absolue à marche forcée

Il y a des barrières qui sont faites pour être sautées, et la Reyne de France, Leyah de Varenne, grande amatrice caprine devant l'Eternel, ne le niera pas, surtout après avoir rebattu les cartes de la géopolitique du Royaume aussi aisément et rapidement. Par une annonce, datant du 28 juillet, Sa Majesté ordonne la reprise par voie des armes des diocèses du Domaine Royal. Cela concerne donc les diocèses de Langres, Conflans-les-Sens, Reims, Orléans, Rouen, Lisieux et le Mans. Tout le Domaine Royal est concerné.

Cette décision fait suite à la plainte de la Comtesse Maltea di Favara qui accusait l'archevêque de Reims, Son Eminence Estevan de Mortelane, de vouloir lever la dîme, ce qui aurait été une violation de l'Ordonnance de Tours. L'article II de cette même ordonnance interdit en effet le prélèvement de l'impôt épiscopal, qui se veut réservé aux autorités municipales, provinciales ou royales. Ne se contentant pas de prendre le contrôle des dits diocèses, la Reine déclare aussi le cardinal Estevan traître à la Couronne de France. Celle qui défélonise à tour de bras chercherait elle à compenser le déficit d'ennemis de notre beau royaume ?
Se mettre à dos l'Eglise Romaine n'est certes pas une prise de risque. Il est aisé en effet de taper sur le vieillard du village pour lui voler sa récolte, et rire de sa misérable tentative de défense. "Rome n'a pas, et n'aura jamais, prérogative sur la gestion financière d'un duché, d'un comté, et de ses habitants." explique la couronnée. Rome avait déjà du mal à gérer ses propres affaires, entravée par ses règles indigestes et le manque des vocations. La Couronne pourra-t-elle réussir là où l'Eglise Aristotélicienne a échoué ? C'est à espérer, les confessions étant essentielles à la vie de tous les jours.

Mais au delà de l'effet d'annonce retentissant, qui ravit les plus fervents adversaires de l'Eglise Aristotélicienne Romaine se pose la question de la sécularisation galopante du Royaume de France.
En effet, l'aspect religieux mis de côté - il préoccupe après tout de moins en moins de monde - c'est la question du régime politique vers lequel Leyah de Varenne nous entraîne à marche forcée qui doit nous intéresser.

En sécularisant aussi brutalement les diocèses du Domaine Royal, la Couronne démontre surtout sa volonté de prendre en main le contrôle de ses provinces. Ainsi nommés, les fonctionnaires royaux (qui n'auront d'évêque que le titre) pourront à la demande de la Couronne :
- Monter une armée corvéable à merci sein même des provinces
- Maîtriser les marchés des villes, leur approvisionnement ou leur pillage plus facilement grâce aux mandats épiscopaux
- Et lever un impôt qui n'aura plus rien d'épiscopal mais tout de royal directement auprès de la population.
Dans un système où la vente de voix à tendance à grimper en flèche, les caisses comtales du Perigord-Angoumois seraient-elles trop faibles pour assurer l'élection du futur poulain royal ? Dans tous les cas, la manne financière diocésaine semble être plus que bienvenue.

Cette centralisation rapide est-elle appelée à s'étendre ? Elle ne semble pas émouvoir les régnants du Domaine Royal. Après tout, leur raison d'être est de servir la France et de ne pas perdre leurs titres.
Qu'en sera-t-il des provinces hors DR ? Le moindre conflit entre autorités comtales et religieuses pourrait désormais servir de prétexte à l'implantation de fonctionnaires royaux au sein même des provinces vassales.

En Limousin-Marche, c'est à la demande de la Comtesse Jeannine Watelse, que la Couronne, généreuse, a annoncé offrir l'agrément royal pour la reprise du diocèse de Limoges. Après un vote tenu en juin, où vingt six personnes se sont exprimées, le résultat est mitigé : 14 Limousins pro-contrôle royal, 12 pro-contrôle romain. La Comtesse Jeannine, elle même pro-contrôle royal offre donc à la Couronne un accès militaire, économique et fiscal aux villes de Tulle, Ventadour, Bourganeuf et Limoges.

Est-ce là l'acte final de l'Affaire de Limoges ? Peut-être, mais les conséquences à l'échelle du Royaume seront importantes. Quel avenir pour la pseudo indépendance du Berry, de l'Artois ou de l'Anjou ? Quand un simple passage d'armée royale permettra l’implantation d'un fonctionnaire de la Couronne, qui, avec l'aide d'un conseil diocésain on l'imagine particulièrement bien recruté, curiculum vitae et lettre de motivation manuscrite à l'appui, sera capable de monter une armée, de gérer des mandats ou de lever des impôts sans avoir le contrôle du castel provincial ?

La France entre-t-elle dans le règne de la diplomatie feutrée ? Doit-on s'émouvoir de la fin des coups d'éclats, des refus d'allégeances grandiloquents et de l'impertinence indépendantiste ? Certainement pas, pour la Couronne, qui pourra désormais intervenir plus rapidement au sein des provinces dissidentes et influer directement sur leur gestion intérieure grâce aux outils originellement accordés à l'Eglise.

Quelle sera la réaction de Rome, du clergé et des fidèles aristotéliciens ? "Lorsque le Sans-Nom et ses séides font usages de la force, celui qui laisse faire est leur complice. Lorsque le Bien affronte le Mal, tous les acteurs de la cité doivent se lever comme un seul corps pour détruire le Malin. " (Logion de Christos XVII) Christos versus Leyah, que le meilleur gagne !

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MessageSujet: Re: Cure d'Agen   Cure d'Agen I_icon_minitimeMer 6 Jan - 13:29

"Ma vie est quand-même vachement plus intéressante que la votre."
Mémoires de Son Eminence Théodoric de Walburghe-Chambertin

Ami lecteur, tu t'apprêtes à pénétrer mon âme, que j'ose, avec ma légendaire plume, te livrer en toute humilité. Ce matin de la Saint Noël, quelques semaines après la mort de ma cousine adorée la Duchesse d'Evreux, je regarde par les croisillons de la fenêtre à meneaux de ma chambre. Je contemple à travers le verre poli les gigantesques jardins de notre villa italienne, où nous avons décidés de passer les fêtes. Ici il fait bon, ici tout est beau, et vu qu'on ne parle pas la même langue, les gens ne comprennent pas quand je les traite de pécores bouffeurs de spaghettis, raison pour laquelle les villageois ne nous ont pas encore chassé.

Cette retraite au bord du Lac de Côme m'est parfaitement salvatrice. Comment pouvais-je, en effet, supporter de fréquenter les châteaux de mon illustre famille, sans repenser à ma cousine, si chère à mon coeur ? Il nous fallait partir. Fuir le deuil, et les troupes du Rois de France, qui, je ne l'ignore point, essaient d'enlever mon cousin Gabriel parce qu'il a le malheur d'être issu, lui aussi, de la semence Drahomiresque. Elen ! Ma cousine ! Ma soeur ! Qu'elle monstrueuse folie que d'avoir ouvert le cuissard aux assauts de Tancarville ! C'est bien la seule ombre qui vient tâcher le magnifique tableau de ton existence, ma défunte amie. Ca et tes multiples accouchements qui hantent encore mes nuits, où Maywenn me forçait à aller enterrer ton placenta. Et encore, même si j'y repense avec des relents de dégoûts, je ne puis m'empêcher de sourire ! Ha ! Qu'il fut beau le temps où tu étais en vie...

Nous voilà donc en voyage, je dirais plutôt en exode. Avec ma mesnie, nous sommes installés dans une modeste villa bordant le lac. L'air y est doux et nous nous promenons en barque, dans l'espoir de trouver la route qui mène aux Indes. Hélas, le Divin nous en empêche. A chaque fois que nous accostons, les autochtones parlent italien, et non le mimi seku. Au fil des tentatives, j'en suis arrivé à désespérer de trouver ces terres nouvelles où établir une colonie et acheter des esclaves. Alors, attablé à mon bureau, contemplant les statues antiques pillées dans un ravin proche, j'ai pris cette décision.

Vous raconter ma vie.

Car, amis lecteurs, je ne l'ignore point. Rude est l'existence sous le règne fade du Roi actuel. Et peu nombreuses sont pour vous l'occasion de vous amuser, de vous divertir et de rêver. Et même si les blagues concernant le gros cul de la reine actuelle peuvent vous amuser quelque peu, elle ne remplaceront jamais la grâce et la somptuosité de ma présence magnifique à vos côté. Et je dis cela, encore une fois, en toute modestie.

Aussi ais-je considéré qu'il était de mon devoir, que dis-je, une nécessité vitale pour ce Royaume en ces tristes heures, que de vous raconter mon existence. Car c'est bien de votre survie, dont il s'agit. Qui irait imaginer vivre dans moi - bordel Mamadou ! SANS moi pas DANS moi ! Mais n'écrivez pas ça espèce d'animal ! Raaah je regrette vraiment de vous avoir acheté au marché aux esclaves de Limoges... Quelle idée aussi de me payer un nègre pour écrire mes mémoires ?! C'est ça oui, fouettez vous vous-même, mais après. Pour l'instant, nous devons coucher sur ce vélin au grammage luxueux l'histoire de ma vie si exaltante.  

Bref, où en étions nous ?

Ha oui...

Chapitre un

Grandir

Il faut bien comprendre, amis lecteurs, qu'avant de devenir mère supérieure au Couvent de la Sainte et Douloureuse Fistule de Boulasse la Rédempteuse, ma mère avait été mariée.

A plusieurs hommes, cela va de soi. Je ne vous les citerais pas tous, mais mon père fut le dernier. Il est mort avant ma naissance, d'ailleurs. Peut être était-ce là le seul homme qu'elle avait réussi à aimer. Après cela, elle décida de prendre le voile et de s'enfermer dans un cloître. La légende veut que ce soit pour racheter sa faute de m'avoir mis au monde. Mais nous savons tous que la réalité était tout autre. Et bien qu'elle refusa de me prendre dans ses bras au prétexte que j'étais aussi laid qu'une "couille de bouc atrophiée" (toujours selon la légende hein), je savais que si elle ne pouvait supporter ma vue c'était parce que je lui rappelais mon père, son défunt mari qu'elle aimait tant.

Ma naissance fut des plus normale, devrais-je dire. On me raconta qu'après avoir été extrait de force du ventre de ma génitrice, causant par la même des dégâts irréparables en sa matrice, je ne hurlais point. Je contemplais seulement le monde, toute cette laideur qui m’entourait. Déjà bébé, je savais quel serait mon rôle sur terre : embellir la vie des gens.

Mon enfance se passa de manière relativement sereine, si l'on met de côté les multiples tentatives de ma mère de m'assassiner et la haine qu'elle insuffla à mes frères et sœurs envers moi.

J'ai grandi entre les différents châteaux de la famille, coffré dans des salles gigantesque, où l'on oubliait de me nourrir. Car chez nous, il faut être mince. C'est ainsi, si l'on veut pouvoir entrer dans les tenues de Carl ou de Dolleché. Ma mère était très amie avec eux, et il est vrai que mon frère Chilpéric et ma soeur Ardegonde ont défilé pour ces deux mesnies de couture dès l'âge de 14 ans. Quand j'exprimais ma volonté de suivre leurs exemples ma mère s'écria, horrifiée :
- Mais c'est qu'il est encore en vie ? Je croyais qu'on l'avait abandonné dans la forêt en revenant de la facheune ouique de Milan il y a six ans !

C'est ainsi que, me rappelant à son souvenir, ma mère décida de me cloîtrer pour de bon, dans un monastère. Et pas n'importe lequel. Le Monastère du Saint-Bois (appelé par les Anglois Holywood) auprès de Son Eminence Oualte Dix Nez.

Cet homme, saint à tous les égards, adorait, comme beaucoup de religieux de l'Eglise Aristotélicienne, s’entourer d'enfants. Il avait un doigté inimitable pour fouiller en nos corps et en nos âmes et débusquer l'artiste qui sommeillait en nous.

Ma mère savait-elle que ce jour là, en m'abandonnant, elle me laissant faire mon entrée dans le monde scintillant du Chaud Bizenesse ? Je l'ignore, mais je peux le dire aujourd'hui : merci Maman.

Les journées auprès de Son Eminence Oualte Dix Nez étaient harassantes. J'ai conservé avec moi un de nos emplois du temps que je vous retranscrit ici :

Lever 15h28 : froissage des draps de satin et insultes gratuites envers les serviteurs.
16h15 : Bain de champagne et lecture des chiffres de l'audimat de la veille OU passage au cachot pour séance de torture si les chiffres sont mauvais.
17h : Petit déjeuner, homard et champagne toujours, faut pas déconner on est pas des veaux qui picolent du chardonnay. (Oui, oui, ce genre de rustres existent, qu'on les émascule).
19h : Cours de pose pour les enlumineurs, travail de la moue faciale et du jeter de regard par dessus l'épaule. Technique avancée de montée des marches sans se casser la gueule.
20h : Début de soirée sur une caraque de luxe privée et apprentissage du jeté de chaussure bourré ou de découvrage "faussement soudain" de téton.
2h : Début de l'après-soirée au Vie Ail Pie Roume, techniques de danses osées et passage sur les genoux de Son Eminence Harvey Ouane Stine pour le cours intitulé "Séduire un producteur sans les mains"
4h : Cours de self défense contre les enlumino-razzi, apprentissage de l'auto regurgitation et de la perte de poids en anonymat, cours sur la prononciation d'insultes anti-spinozistes.
8h : Fin de la journée de cours, repos bien mérité et retour au Martine Aise, l'auberge 5 étoiles.

Bien entendu nous n'avions pas de vacances, pas de véritable repos. La pression était aussi constante qu'intense. Et beaucoup craquaient au bout de la première année. C'est ainsi qu'après une soirée arrosée à la bière (oui, vous lisez bien, il a bu un breuvage de prolétaire), une camarade de classe désormais totalement inconnue, quoi que princesse par fiançailles, a pris un carrosse Macère hâtis, avant d'aller se jeter contre un des piliers du pont qui menait au couvent. La presse à scandale, notre pire allié et meilleure ennemie, en a fait ses choux gras. SE Oualt Dix Nez, souhaitant protéger notre réputation et la sérénité de nos cours, a été obligé de faire croire à la presse que la méchante belle mère de ladite princesse avait fait trafiquer les freins du carrosse. Le Couvent du Saint-Bois est passé à un cheveux de la catastrophe ce jour-là.

L'apprentissage était dur, un peu comme ma..., mais je montrais quand-même d'étonnantes facilités, au point de sortir major de ma promo à de nombreuses reprises, attirant sur moi la haine et la jalousie de mes camarades de classe. Comme aujourd'hui, ma fulgurante beauté et mon sens inné du scandale faisait de moi leur supérieur, et ça, ils ne pouvaient le supporter. A la cérémonie de remise des Globes d'Or, équivalent pour vous, plébéiens, d'un diplôme universitaire, je reçus les félicitations du Jury et très vites les contrats se mirent à pleuvoir.

J'en arrive donc à une partie de ma vie : la dure vie de troubadour-enfant.

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